Lucie Linder
Effacées,
2009
Triptyque vidéo, 5 min 58, son: Alva Noto
Exposé à l'autre canal à Nancy.
Ce tryptique vidéo est la continuité et la suite logique de ma série de photographie « Effacement ». Reprenant le théme de l’errance et du non-être, il mets en scène quatre jeunes filles détachées dans un paysage qui les recouvrent. La confrontation d’elles mêmes avec la réalité est accentuée par le son d’un battement de coeur qui s’accélère et fait résonner un mal être et un besoin d’exister. Le son crée par Alva noto mets également le spectateur en attente. On ressent une méfiance dans l’attitude des jeunes filles et une forte tentative de se distraire de la solitude. Si elles devaient parler, elles utiliseraient les mots de Fernando Pessoa pour dire : « Je ne suis rien. Je ne serai jamais rien. Je ne peux vouloir être rien. À part ça je porte en moi tous les rêves du monde. »
2009
Triptyque vidéo, 5 min 58, son: Alva Noto
Exposé à l'autre canal à Nancy.
Ce tryptique vidéo est la continuité et la suite logique de ma série de photographie « Effacement ». Reprenant le théme de l’errance et du non-être, il mets en scène quatre jeunes filles détachées dans un paysage qui les recouvrent. La confrontation d’elles mêmes avec la réalité est accentuée par le son d’un battement de coeur qui s’accélère et fait résonner un mal être et un besoin d’exister. Le son crée par Alva noto mets également le spectateur en attente. On ressent une méfiance dans l’attitude des jeunes filles et une forte tentative de se distraire de la solitude. Si elles devaient parler, elles utiliseraient les mots de Fernando Pessoa pour dire : « Je ne suis rien. Je ne serai jamais rien. Je ne peux vouloir être rien. À part ça je porte en moi tous les rêves du monde. »
