Lucie Linder
« Hystérie », 2010
Vidéo, boucle
Exposition Dubio, Eglise des Trinitaires, Metz, 2011
« Première leçon.Répétez tout, répétez tout, sans peur et sans reproche, à toute pompe, allez-y ma cocotte, télégraphique, c’est parti.Dans le cochon tout est bon »
Extrait de « Fairy Queen » d’Olivier Cadiot
De cet extrait, est apparue la création de cette video dans laquelle s’alterne lieux et corps à la manière d’un miroir. Les images se reflètent entre elles comme si on renvoyait une balle contre un mur. Il n’y a donc pas d’issue. Chaque enchainement de répétitions, de boucle, de clignotements, d’aller-retour, de va et vient trouvent leur cohérence dans la durée de l’infini ou de la boucle. La mise en relation entre les images et du son estropié forment une fausse narration qui par un retour sans cesse au début dérive vers l’oppression. Une façon de faire le portrait de la paranoïa et de l’hystérie
Exposition Dubio, Eglise des Trinitaires, Metz, 2011
« Première leçon.Répétez tout, répétez tout, sans peur et sans reproche, à toute pompe, allez-y ma cocotte, télégraphique, c’est parti.Dans le cochon tout est bon »
Extrait de « Fairy Queen » d’Olivier Cadiot
De cet extrait, est apparue la création de cette video dans laquelle s’alterne lieux et corps à la manière d’un miroir. Les images se reflètent entre elles comme si on renvoyait une balle contre un mur. Il n’y a donc pas d’issue. Chaque enchainement de répétitions, de boucle, de clignotements, d’aller-retour, de va et vient trouvent leur cohérence dans la durée de l’infini ou de la boucle. La mise en relation entre les images et du son estropié forment une fausse narration qui par un retour sans cesse au début dérive vers l’oppression. Une façon de faire le portrait de la paranoïa et de l’hystérie